Stratégie Digitale

Stratégie Digitale

Définir la bonne stratégie digitale

ADACTION vous aide à définir la bonne stratégie digitale pour votre entreprise. Une stratégie réfléchie en amont, en accord avec la stratégie globale, pour vous amener des résultats tangibles et mesurables.

 

Définir les objectifs

Les objectifs doivent être étayés, mesurables, atteignables, datés.

Les objectifs online doivent être clairement définis dans le cadre du modèle économique spécifique à l’entreprise. Ils peuvent être de natures très différentes :

Votre entreprise souhaite-t-elle suivre des objectifs :

  • De notoriété ?
  • De fidélisation ?
  • De génération de trafic ?
  • De génération de prospects ?
  • De ventes ?
  • Autres ?

Le suivi des taux est aussi important.

  • Taux de transformations d’opportunités
  • Taux de conversion de prospects en clients
  • Taux de rétention clients (permet de calculer le nombre de nouveaux clients à aller chercher pour atteindre l’objectif)
  • Taux de recommandation (le plus souvent à partir d’un sondage). Doit être supérieur à 80% pour être positif

Pour suivre ces objectifs, vous avez le choix parmi les dizaines de KPI (Key performance indicators) disponibles sur les tableaux de bord type « analytics ».

Définissez ceux que vous voulez suivre. Ceux et seulement ceux qui sont importants pour votre activité.

Un indicateur implique toujours une décision dans le but de mener des actions correctrices sur les écarts. L’indicateur appartient à celui qui l’exploite. S’il n’y a pas d’appropriation, cela ne sert à rien.

A titre d’exemples, au quotidien :

  • Le trafic, nombre de visites totales ou uniques
  • Nombre de nouveaux visiteurs
  • Le temps passé sur le site
  • Le taux de clics (CTR)
  • Le taux de rebond
  • Le nombre de ventes
  • Le taux de transformation
  • Le taux d’abandon de panier
  • Le panier moyen

Et en mensuel

  • Evolution SEO (référencement naturel)
  • Résultats SEA (référencement payant)
  • Résultat des actions marketing
  • Le ROI (Return On Investment)

Une fois vos indicateurs définis, vous pourrez alors construire un Business Plan spécifique à votre activité internet. Cela vous permettra d’en mesurer mois après mois sa rentabilité.

 

Lancer la réflexion stratégique :

Quels sont vos points forts. Vos USP ( Unique Selling Proposition ) dans votre marché ? Et aussi vos points faibles. Une analyse SWOT (Forces et faiblesses. Opportunités et menaces) doit-elle être mise en place spécifiquement pour votre activité internet ?

Parallèlement, il est nécessaire de faire une étude « Benchmark » de vos principaux concurrents. Quels sont leurs propres USP ? Quelle est leur cible ? Comment communiquent ils ? Sur quels supports ?

Fort de cette analyse, vous pourrez déterminer vos points forts spécifiques, différenciants, propres à vos savoir-faire pour les mettre en valeur et les déployer dans votre stratégie internet.

Enfin quel est le « persona » : le profil type du consommateur qui représente votre cible ?

  • Qui est il ? Son âge ? Son type d’habitat ? Son emploi ? Ses revenus ? Ses loisirs ?
  • Quels sont ses besoins ? Que cherche-t-il ? Que veut-il résoudre ?
  • Quels produits, services sont susceptibles de l’intéresser ?
  • Comment utilise-il internet ? Plutôt sur mobile ? Sur desktop ? Quand ?
  • Quels réseaux sociaux utilise-t-il ?

En cherchant les réponses à ce type de questions, vous pourrez segmenter votre fichier clients et déterminer quand, comment et sur quels supports communiquer avec eux.

 

Structurer le fichier clients :

Créer et structurer votre base de données clients

Une base de données Clients/Prospects qualitative, régulièrement mise à jour constitue un capital essentiel pour l’entreprise. D’ailleurs, si l’on fait référence à son chiffre d’affaires, nous pouvons entre autre le calculer de la façon suivante :

CA = (taille du fichier client) x (fréquence de commandes) x (panier moyen)

La base de données clients va vous permettre de communiquer efficacement avec vos clients et prospects. (e-mail, newsletter, programme de fidélisation, jeux-concours, sondage, cadeaux, promotions…). Vous allez ainsi pouvoir personnaliser les messages et optimiser les résultats de vos campagnes marketing.

Votre base de données peut être tout simplement un fichier excel ou mieux : « MySQL ». Les principales données collectées vont varier en fonction des modèles spécifiques à chaque entreprise. Exemples de données à récolter :

  • Nom
  • Prénom
  • Sexe
  • Adresse
  • Date de naissance
  • E-mail
  • Téléphones fixe et portable
  • Centres d’intérêts
  • Références commandes (préférences produits)
  • Références recours ADV (sources de litiges)

Objectif ? Classer toutes les données nécessaires à la connaissance de vos clients et prospects pour affiner les ciblages et constamment améliorer le ROI de vos actions publicitaires et marketing.

Tout cela sans oublier de vous conformer aux nouvelles lois sur la protection des données : RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données)

 

Piloter la performance

Construire le tableau de bord :

Suivre les bons indicateurs vous permet de bien connaître votre activité.

Vous pouvez mesurer les écarts entre l’objectif et le réalisé. Charge au responsable du service d’analyser ces écarts et de présenter les meilleurs plans d’actions pour les corriger.

Il est important de déterminer ce qui est prioritaire voire essentiel pour le bon suivi de votre activité. Il faut privilégier l’action, donc limiter le nombre de mesures sur un tableau de bord qui, idéalement,  devrait tenir sur une page.

Il ne faut pas sous-estimer ce type de chantier qui demande les compétences d’une équipe projet :

  • Définir les indicateurs sur lesquels les équipes doivent agir
  • Définir la méthodologie qui va permettre de collecter les données sur les serveurs, dans l’ERP ou encore dans le CRM
  • Designer puis développer la solution analytique retenue. Les utilisateurs des tableaux de bord devront participer au projet car ce sont eux qui analyseront les résultats fournis et présenteront les actions correctrices.
  • Déployer la solution web sur les serveurs.
  • Mettre en phase les tableaux de bord qui ont été sélectionnés avec les données web récoltées.

Il est important de dissocier les indicateurs d’activité (qui permettent aux managers d’agir le plus tôt possible avec leurs équipes. Exemple : nombre de RDV prospects) et les indicateurs de résultats (qui permettent des analyses. Exemple : nombre de nouveaux clients).

Une phase de tests est souvent nécessaire avant d’arriver aux résultats voulus. Vous pourrez dans un second temps déployer ces tableaux de bords à l’ensemble des équipes.

Concevoir et produire votre nouveau site internet

Concrétiser la réflexion stratégique

Il est primordial de réfléchir à l’articulation du référencement naturel (SEO) dès la conception du site internet. Pour structurer au mieux le référencement, intégrateurs, développeurs et spécialistes référencement doivent présenter leurs préconisations en amont de la fabrication du site.

L’équipe qui travaille sur le cahier des charges du site doit consacrer du temps à :

  • Etudier, rédiger les mots et expressions clés sur lesquels va s’articuler le référencement.
  • Définir les objectifs de conversion. Exemples : s’inscrire à une newsletter. Acheter un produit. Développer le click & collect. Télécharger un fichier. Remplir un questionnaire, une demande de devis. Téléphoner. Regarder une vidéo, un tutoriel…
  • Ecrire les appels à l’action : quel appels à l’action vont être efficaces. Sur quelles pages d’atterrissages ?
  • Rédiger les futures fonctionnalités du site.

Maquetter et développer le site web

Une fois le cahier des charges rédigé, la personne ou l’équipe chargée de l’ Assitance à Maîtrise d’OuvrAge (AMOA) et l’équipe de développement (graphiste, développeur, référenceur) devront :

  • Définir la plateforme ou le CMS (Content Management System) à partir duquel sera développé le futur site.
  • Rédiger le plan du site : home page (header, barre de navigation, slider, footer…). Architecture, navigation, onglets, pages intérieures types…
  • Ecrire et positionner sur les bonnes pages les éléments de réassurance
  • Définir et réaliser la charte graphique (zoning, maquettage des pages)

Ecrire et développer les éventuelles interfaces avec l’ERP de l’entreprise (Enterprise Ressources Planning) souvent traduit en français par PGI (Progiciel de Gestion Intégré)

Mettre en place le juste plan webmarketing pour développer la visibilité du site et la notoriété de la marque

Les choix parmi les nombreuses actions webmarketing possibles vont dépendre de votre stratégie web et du budget alloué.

De nombreuses options s’offrent à vous :

  • Le marketing de contenu : quels contenus utiles pour votre stratégie web ? A quelle fréquence ? Sur quels supports : réseaux sociaux, blogs, forums ? Qui va les rédiger ? A partir de quelle charte éditoriale ?
  • Le community management : qui va travailler la visibilité de votre marque ? Sur quels média sociaux ? Facebook, Pinterest, Instagram, LinkedIn, Twitter…
  • Le SEO (Search Engine Optimization) ou référencement naturel
  • Le SEA (Search Engine Advertising) ou achat de mots-clés sur les moteurs de recherches
  • E-mailing : routages de newsletters ou d’e-mailing promotionnels
  • Display ou autres formats publicitaires sur des sites internet ciblés ou sur certains réseaux sociaux (en fonction des options de ciblages disponibles)
  • Création de vidéos, d’une chaine « YouTube »
  • Gestion des avis et témoignages
  • Marketing Automation : pour les entreprises qui ont des bases de données et des flux importants, investir dans des outils qui permettent une automatisation de certaines actions marketing
  • RP

Externaliser ou internaliser tout ou partie de vos actions webmarketing ?

Quelques questions à se poser :

 

De quelle ressources disposez vous en interne ?

  • Qui ?
  • Quel savoir faire ?
  • Pour faire quoi ? A quelle fréquence ?
  • Combien de temps cette (ces) personne(s) a de temps disponible par jour ? par semaine ?

 

A l’inverse, quels savoir-faire ne sont pas disponibles dans l’entreprise ?

  • Enumération en fonction des besoins motivés par le plan d’actions webmarketing retenu
  • Quel temps de travail nécessaire estimé par type de compétence ?
  • Quelle agence ou free-lance peut le(s) réaliser ? Pour quel coût ? Pendant combien de temps ?

Toutes les options existent : certaines entreprises internalisent la totalité des compétences. D’autres considèrent que le webmarketing ne fait pas partie de leur « core business » et préfèrent externaliser.

Dans de nombreuses structures, certaines compétences jugées clés sont internalisées et d’autres externalisées. Elles peuvent parfois être externalisées avec, pour objectif, de les internaliser à moyen terme.

Il s’agit souvent de bon sens, de gestion des priorités et d’allocations de moyens.

ADACTION peut vous aider à mettre en place votre stratégie webmarketing en place.

Par définition, la politique webmarketing ne sera pas figée dans la durée. La mesure du ROI (Retour sur Investissement) de chaque action sur chacun des supports sélectionné orientera les futurs choix.

 

Mettre en place dans votre entreprise toutes les composantes efficaces du e-commerce

L’approche multicanal est devenue incontournable :

  • Je prépare mes achats et je compare sur internet avant d’acheter.
  • J’achète de chez moi et je suis livré en magasin ou dans un point relais.
  • J’achète en magasin et je suis livré chez moi…

Le débat e-commerce vs commerce “traditionnel” n’a plus lieu d’être depuis plusieurs années déjà.

L’entreprise doit s’adapter aux modes de consommation de ses clients, intégrer la mobilité et developper sa pallette de services.

Un projet en ligne impacte tous les services de l’entreprise :

  • Vente
  • Marketing
  • Communication
  • Informatique
  • Gestion Achat
  • Logistique
  • Ressources Humaines

Il est donc nécessaire d’avoir une vision large en amont pour bien intégrer le canal e-commerce à votre stratégie.

La mise en place du projet E-COMMERCE demande une implication totale de la direction et du “Top Management” :

Les choix structurants concernant le site, le système d’informations, le e-marketing, ne se délèguent pas.

Il faut aussi définir les moyens financiers à budgéter qui peuvent aller de 20 à 200 K€ en fonction de l’existant, du projet, et de la durée projetée.

 

Dans ce cadre, ADACTION vous aidera à définir vos besoins, rédiger votre cahier des charges et vous accompagnera pour travailler avec les bons prestataires.

Bien mené, votre projet e-commerce sera fédérateur pour tout le personnel de l’entreprise.

NB : ADACTION intervient aussi bien sur les projets B to B (Business to Business) que B to C (Business to Consumer).

Vous trouverez ci-dessous pour information les grandes lignes de la modélisation par ADACTION de la conduite d’un projet e-commerce.

 

I – LA STRATEGIE

■ Quelle est mon identité ?

> Marque, logo, base-line. Sont ils explicites ? Quelle mise en scène ?

■ Notions de “Brand Content”

> Quel contenu éditorial créé par la marque ?

■ Étude de marché. “Benchmarker” la concurrence

> Le marché : “Opportunités et menaces”. Mon business : “Forces et faiblesses”

■ Adapter mon offre au e-commerce

■ Gagner de l’argent (9 leviers et le prix)

> Quels sont les leviers sur un média où l’on est situé à quelques clics de ses concurrents ? Quelle stratégie tarifaire adopter ?

■ Plateforme de développement ? Open Source ?
A qui confier le développement de mon site ?

> ADACTION vous aidera à faire les bons choix techniques dans le cadre de votre budget.

■ Réussir la greffe du site avec le SYSTÈME INFORMATIQUE de l’entreprise

■ Pourquoi se faire conseiller par un professionnel ?

> Tous les services de l’entreprise sont concernés par le canal “e-commerce”. Une vision globale en amont fait gagner du temps et de l’argent.

 

II – LE SITE INTERNET

FRONT OFFICE : Partie visible du site pour vendre.
BACK OFFICE : Partie non visible pour traiter les commandes.

Se poser les bonnes questions pour faire les bons choix techniques :

■ Le référencement natureL.

> Les éléments à prendre en compte pour un référencement naturel qualitatif vont de pair avec la construction du site.

■ Hébergement et sécurité

■ Places de marchés et comparateurs de prix

> Amazon, Pixmania, Rue du commerce, Priceminister…

■ Le front office ou interface marchande, la home page

> Les règles à respecter pour avoir un site performant et “vendeur”.

■ Le paiement en ligne

■ Le e-merchandising

> Optimiser l’efficacité commerciale du site.

■ Le catalogue électronique

> Travailler le MIX : le bon produit ? Au bon prix ? Bien présenté ?

■ La fiche produit. Gestion des photos et des textes

> Anticiper pour ne pas avoir à tout refaire plus tard.

■ Le panier (Analyse, suivi, relance)

■ Google Analytics

> Définir les bons indicateurs à suivre. Analyser. Décider. Agir.

■ Tester, tester encore

> S’attacher, toujours, aux valeurs d’usages plus qu’à la théorie.

■ Établir une relation de confiance

> Dépasser les attentes de vos clients.

■ La version responsive du site pour utilisation sur smartphones

 

III – LE FICHIER CLIENTS

C’est toute votre richesse

■ Mesurer le potentiel d’un marché

■ Créer mon fichier client

CA = Taille du fichier x Fréquence des commandes x Panier moyen.

■ Structurer le fichier (la segmentation commerciale)

Optimiser le rendement des relances.

■ Travailler sur des fichiers qualifiés

■ L’affiliation

■ Mesurer la prospection

Calcul de la MAP (Marge Après Publicité).

■ L’utilisation du sms

■ Relancer, relancer encore

« Le meilleur client est toujours le client le plus récent »

 

IV – LE WEBMARKETING

Vous avez le bon site ?

Alors augmentez votre nombre de visites et développez votre taux de transformation visiteurs/clients.

■ Google Adwords, Google Insight

> Les Google Adwords sont incontournables sur le court terme.

> La puissance de la marque et du fichier client le sont encore plus sur le long terme.

■ Créer des animations commerciales

> Nous sommes tous sensibles aux promos, remises, cadeaux…

■ Faire vivre la “home page”

■ E-Merchandising

> Ergonomie, offres complémentaires, promos, …
Monter le taux de conversion : “Visiteurs/client”.

■ Newsletter

> Les règles à respecter pour qu’elle soit efficace. Comment l’expédier ?

■ Plan d’action e-mailing

> Quel contenu ? Quelle fréquence ?

■ Bannières et autres publicités online

■ Réseaux sociaux – Blogs

Ces supports sont dans l’air du temps, mais attention à ne pas “surinvestir” dans les phénomènes de modes. L’important c’est de savoir où sont vos clients.

 

V – LE SERVICE CLIENT ET LA FIDELISATION

Le service client est un état d’esprit. Il doit vivre dans tous les services de l’entreprise et le patron en est le garant.

■ Un internaute est un client avant tout

> Un site ne doit pas se contenter de vendre, il doit aussi être perçu comme un expert.

■ Le service client sur internet, c’est quoi ?

> « Tout ce qui mérite d’être fait, mérite d’être bien fait »

■ Un SAV rapide, tourné vers le client

> En e-commerce, la vélocité fait souvent la différence.

■ Les actions de fidélisation

 

VI – LA LOGISTIQUE ET LE TRANSPORT

Vous et nous, devons réfléchir, anticiper le développement à venir pour mettre en place des outils adéquats et perennes.

■ Sous-traiter la logistique ?

> L’exigence de la qualité tout au long de la chaîne logistique constitue un point essentiel de la qualité de service.

■ Optimisation de la gestion des stocks

> Quelle solution informatique ? Contrôle de la fiabilité. Mon outil sera t il toujours adapté dans 2 ans ?

■ Optimisation du picking et des modes de transport

■ Gestion des retours